…atelier ouvert de Joachim Séné, écriture…
6 octobre 2010
Comme la pluie qui ne vide aucun nuage.
Comme un nuage qu’aucune pluie ne saurait vider.
Comme un vide qu’aucune pluie ne saurait nuager.
Comme un savoir qu’aucun vide ne pleuvrait nuage.
Pluie un aucun que nuage ne viderait comme savoir.
Et voilà que la journée s’est écoulée contre la vitre à petites saccades. C’est déjà le soir.