Critique Formule 1
mardi 17 novembre 2020
15 novembre 2020
Curieux cette façon qu’on les journalistes* de parler de livres que de toute façon les gens vont lire. C’est plutôt un marché de l’avis qu’ils déploient dans ces émissions ou colonnes. Ils proposent un avis et les lecteurs, ou encore plus nombreux les non-lecteurs, peuvent aller piocher ici ou là l’argument qui leur convient, qu’ils pourront le mieux utiliser selon leur mode de consommation de l’avis.
(*) oui, "les", "des", vous voyez, je parle masse, mainstream, gondoles.
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Pourquoi je n’écrirais pas tout simplement ici sur mon site tout y compris le très court qu’il m’arrive de poser vite sur Twitter ? Pas tout, mais certaines choses que je note, il y a de la prise de la note parfois et je poste sur Twitter parce que c’est court, au lieu de le noter ailleurs, et parce que ça peut susciter une réaction immédiate, n’oublions pas la récompense que les notifications font au cerveau. La fatigue de tout ça. Le cerveau qui pèse là-dessous.
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Je me souviens des Grands Prix de Formule 1, à la télévision, qui duraient des heures, après-midis engourdis.
Ici, on efface les pistes cyclables pensées pendant le premier confinement et tracées au creux de la vague.
J’essaie d’imaginer le Masque et la Plume contemporain de Mozart, "ce Concerto 21 ça n’est pas de la musique, y a des passages on n’y comprend rien, il perd l’auditeur, et ça va pas du tout, il y a trop de notes." — Lesquelles ?
Envie d’aller miner de l’hydrogène métallique sur Jupiter.
Qui commet le meurtre d’un homme qui se pend ?
Nous demandons un gouvernement absent
détaché
un gouvernement arraché
démembré
Nous exigeons ... lire la suite