Des con rogatoires
mercredi 6 mars 2024
6 février 2024
Après une journée à avoir végéter sur les réseaux, à peine écrit quelques caviardages du CESEDA [1], avoir été ralentir la productivité des archives en allant dire bonjour et donner quelques nouvelles, et voir quelques belles cartes postales, je reçois le SMS de l’opticien. Lunettes + prisme, disponibles. J’y vais. Je le mets, déception. Tout est courbe, pas en double, mais déformé, surtout de près, donc il faut les enlever pour ne pas être trompé par les perspectives. Je marche dans le centre commercial comme dans un jeu vidéo, le relief est artificiel comme avec un casque de VR ou comme au cinéma 3D. J’attendais trop, j’attendais une vue normale, parfaite. Je ne vois plus double mais courbe, c’est, à force, un peu mieux malgré tout. Et un peu arc-en-ciel sur les bords aussi.
Ironiquement, j’ai reçu les deux premiers livres de L’œil ébloui, la collection Perec 53.
Je caviarde, c’est-à-dire que je fais comme si je rayais toutes les mentions inutiles, et je recopie ce qui reste. Parfois, une coquille, car je n’ajoute pas. Ce que j’ai déjà fait il y a quelques années avec le CGI sur mon ancien site malheureusement illisible à cause de la patine numérique. Que ne me suis-je occupé de publier ça alors, ou que quelqu’un ne me le propose...
Une première partie est publié remue.net.