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Entretien technique

mercredi 7 mai 2025

6 mai 2025

La prise secteur de mon ordinateur, mal réparée par un magasin incapable, pour plus de 100 € à Noël dernier, a encore lâché. Je parviens à réintroduire la fiche dans le connecteur, sur la carte mère. C’est fragile, ça bouge. Je fixe au scotch de déménagement. Si elle part à nouveau, je ne sais pas si je pourrais la remettre. Irréparable ? C’est fou, je risque de devoir acheter un nouvel ordinateur, j’en avais vu un reconditionné, avec beaucoup de RAM et de disque dur, mais 700 €.

Le plus long et complexe entretien d’embauche, avec test technique avancé, est montré dans White house down de Roland Emmerich (catégorie bon nanard). Bien que tous suprémacistes blancs agissant contre le président Noir (Jamie Foxx) pour des motifs racistes, un de ces terroristes porte un tatouage anarchiste, sans doute pour laisser une sorte de doute planer et ne fâcher personne, dans le public. En voyant le terroriste hacker sucer sa sucette et écouter de la musique, je me suis dit qu’il faudrait établir une anthologie des hackers dans les films (Theo dans Die Hard, Livingston Dell dans Ocean Eleven, Dennis Nedry dans Jurassic Park (serrer les dents et dire "Hello, Newman...") ... et avoir les bons hackers et les méchants hackers, remonter plus loin aussi : Alphaville, War games, ...) Quant à l’entretien d’embauche de John Cale (joué par Channing Tatum, sans doute pour John McLane, plutôt que pour le musicien, quoique, pourquoi pas, la fille du personnage dans le film porte le prénom d’une des chansons de John Cale), à peine terminé, validé, qu’il faut aller bosser, même pas le temps de se changer.

Maggie Gyllenhaal, éclairé par les tristes lampes jaunâtres des années 200x-201x...

 

Début d’Aurélia, Gérard de Nerval :

Le rêve est une seconde vie. Je n’ai pu percer sans frémir ces portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible. Les premiers instants du sommeil sont l’image de la mort ; un engourdissement nébuleux saisit notre pensée, et nous ne pouvons déterminer l’instant précis où le moi, sous une autre forme, continue l’œuvre de l’existence. C’est un souterrain vague qui s’éclaire peu à peu, et où se dégagent de l’ombre et de la nuit les pâles figures gravement immobiles qui habitent le séjour des limbes. Puis le tableau se forme, une clarté nouvelle illumine et fait jouer ces apparitions bizarres : – le monde des Esprits s’ouvre pour nous.

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