Don : soutien financier
Flux RSS RSS (flux d'abonnement)

Il ne voit pas pourquoi

vendredi 24 janvier 2025

23 janvier 2025

Ce matin dans le ciel, l’inspiration des boulanger·es.

Coldplay en sonnerie de téléphone, ça passe. Mais pas chez moi.

Retravail de RRK, moitié faite.

Au Père Lachaise des barbelés surmontent les hauts murs pour empêcher les écrivains-zombies de sortir attaquer les librairies et bibliothèques.

Brice Hortefeux dit s’être retrouvé, comme sans le faire exprès, au cours d’un voyage diplomatique en Lybie, au domicile d’un terroriste recherché internationalement, et dont "les négociations pour le blanchir sont au cœur du procès de Nicolas Sarkozy".
Mediapart :

Les dessous de ce voyage, Brice Hortefeux le sait, sont des plus embarrassants. Il a rencontré secrètement, ce jour-là, dans le dos de l’ambassade de France à Tripoli, mais en compagnie de l’agent de corruption présumé Ziad Takieddine, le numéro deux du régime libyen, Abdallah Senoussi, un homme pourtant condamné à la perpétuité et recherché par la France pour avoir organisé un attentat terroriste contre l’avion de ligne DC-10 de la compagnie UTA (170 morts).

Il y serait allé escorté par des Lybiens, mais pas par les services français, sans prévenir personne. Il rencontre donc ce Senoussi, avec lequel il dit échanger des banalités, et conclut :
« Je ne vois pas pourquoi j’irais raconter autre chose que la vérité. »

Il faut pouvoir sortir ce genre de phrase, je ne comprends pas tout à l’affaire, je note des choses, simplement.

Mediapart m’apprend que :

Trois mois plus tôt, le directeur de cabinet de Sarkozy, Claude Guéant, avait lui aussi rencontré secrètement à Tripoli Senoussi, en la seule présence de Takieddine. Et lui aussi plaide aujourd’hui le « piège ». Et lui non plus n’en a pas parlé à Sarkozy après-coup. Comme il n’a pas définitivement coupé les ponts avec le machiavélique Takieddine.

Dans la boulangerie, des urgentistes divorcé•es parlent des réputations comparées des collèges de la ville. Une conversation entière faire de préjugés, de rumeurs, de "Bon sens citoyen", je crois aussi qu’iels sont "de gauche". D’une part, je ne m’en mêle pas, ne leur dis pas qu’au collège privé, c’est l’éducation autoritaire de vitrine, ce jeu d’humiliation, une dose de mépris, un sexisme assumé, et je pourrais leur citer l’exemple de "tes parents ne savent pas prononcer ton nom" asséné à un enfant qui voulait rectifier la prononciation de son prénom ; d’autre part j’essaie d’oublier une personne toxique qui fait circuler précisément précisément des rumeurs sur les collèges, et avec qui j’ai trop eu affaire. C’est un exercice personnel de méditation de faire en sorte que tout cela coule autour de moi sans m’atteindre, comme la pierre au fond de la rivière, l’eau finira par passer.

Mais un peu partout, l’eau est contaminée par des "polluants éternels". Que Choisir a mené l’enquête. Les normes françaises disent que tout est bon, mais si l’on applique les normes danoises, ou américaines, c’est la moitié des robinets qu’il faudrait fermer.

Pour les partisans de Trump, soit il est "fake" de dire que c’était un Sieg Heil, soit l’image devient "fake".

En septembre, j’abandonnais deux noyaux d’avocat dans un pot de fleur, sur le balcon. J’arrosais chaque soir, abondamment, je les inondais. Ils se sont fendus en deux. A l’arrivée des fraîcheurs de l’automne, un seul avait une minuscule pousse de racine. Je l’ai replanté dans un pot, et mis au chaud. J’ai ajouté une lampe à LED blanche au-dessus. Et là, ces jours-ci, une tige apparaît, de quelques centimètres déjà.

Partager cet article

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Je crée du contenu sur le web depuis 2001. Ici, il n'y a pas de vidéo, mais comme tout créateur de contenu, j'accepte le soutien mensuel, ou ponctuel.

Rien à voir, mais vous pouvez faire trembler la page.