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17 juin 2025

Alors il faut faire la pub sur Facebook, c’est ainsi, parce que tellement de monde y est encore, parce que c’était un travail depuis 2008 de tisser les liens dessus et que ça reste, et que les gens ont du mal à partir, j’ai déjà écrit sur ça, et décidé de perdre ce réseau. Mais il persiste, on y reste parce qu’il y a la visibilité, comme on garderait sa boutique dans la rue d’un pays passé aux mains de fascistes, peut-être. Mais paierait-on ses impôts ? La question se poserait, de fermer boutique. Alors, il y a la soirée du 20 juin, 18h pour la sortie de Disparitions, Apparitions , dans l’oloé de L’aiR Nu, et là j’ai cédé à cette facilité de publicité, parce que tout le monde est là, et qu’il n’y a pas directement d’argent en jeu, c’est (seulement) le traitement mystérieux et indirect de nos comportements mis en chiffres ici, qui vont faire acheter une paire de baskets made in Bangladesh à Santiago du Chili et réserver jusqu’à 40% de la vente à une plateforme dont les bénéfices stagnent dans un paradis fiscal.

Peut-être que rien de tout cela n’est vendeur, mais c’est le Journal éclaté ici, que dire.