Le 20 mars
samedi 20 avril 2024
20 mars 2024
Je reprends au jour le jour le mois passé de ce journal, je n’ai aucune avance, il me manque des jours, pourtant il se passe des choses, mais je ne veux pas en parler tant que rien de fait. C’est au sujet du travail, sur le plan professionnel, je suis multi-dimensionnel, j’ai des plans différents, trop sans doute pour le monde 3D qui est le nôtre, je ne colle pas, il me manque une case, non pas à l’intérieur mais à l’extérieur, une case qui me reçoive. Et plus je tourne en rond, plus la confiance s’étiole.
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Extrait des Carnets Web de la Grange (Karl Dubost), cet affût entre les pages et le monde, c’est si bien vu.
S’asseoir dans un café, prendre un livre, un café et un carnet de notes papier. J’ai acheté celui-ci car il avait de petites cases, un papier vert clair et les lignes en vert plus foncé. Je veux sentir l’humanité, à l’affût entre les pages de mes lectures, pendant les brèves pauses où je bois dans la tasse.
Parfois, il faut se détendre, se mettre au frais, se relaxer.
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J’ai commencé à écrire Le Réseau Robert Keller certes au début du confinement, à m’intéresser au nom de la rue au cours de mes promenades, mais surtout c’était après la publication de L’Homme heureux, quand ce livre était complètement hors de ma portée, après le retravail, les allers-retours, le BàT. Alors j’attends de publier RRK pour le terminer, passer à autre chose. Cependant que d’autres projets aboutissent (La Boucle Impossible), vont aboutir, ou s’écrivent toutefois.